
-AIR TIMIDE-
le Clip Air Timide est arrivé Finaliste
des Musics Video Awards de Munich façon Poulidor. Trés heureux d'être sur le podium.
Le son qui sort n’est pas le bon Le bon son aurait du ressort Trop de pression c’est la fuite Même si mon cœurs dans sa cage En rythme propage des rougeurs Pas un souffle sur me lèvres C’est de l’air timide Du vent inhibé C’est mon cœur au fond avide La ma bouche B Désaccordés. J’ai tenté l’alcool l’humour l’amour Pour teinter ma peur de bravoure Mais jamais ma langue ne décolle L’émoi est intact mais j’ai tort Et Les tics tacs usent mon ressort Demain je n’aurais plus d’impact C’est de l’air timide Du vent inhibé C’est mon cœur avide Et ma bouche B Désaccordés.
-UNE STATUE GRECQUE-
Une statue grecque Prends un bain de mer Le sourire aux lèvres Un bonheur terrestre Ho dieux qui s’acharnent Epargnez sa vie Epargnez son cœur Administrez lui ! Un pouvoir divin Un poison heureux Un bonheur pour elle Parfait et contagieux Voilà la prière D’un père imbécile Naïf conservateur De sa statue Grecque FALIEZ
-NOTRE MARBRE-
J’aime ton amour Et tu m’ennuies, Mais je me trompe, Et je me trompe. Notre marbre, L’assouplir ? Ou l’éroder ? Ou le lourder ? Ton œil qui frise, Le regarder ? En attendant, En espérant : L’aéroplane, Une euphorie, Un incendie, La mort divine ? Bonheur au loin, Dans la cavale, Le nez dedans, Bureaucratie. Notre marbre, La matière, Mauvaise pioche, La brise, la brise. L’amour au présent dérouille. Car la nostalgie, ne l’embellie pas encore. L’amour au présent dérouille. Car la nostalgie, ne l’embellie pas encore FALIEZ
- OSE ! -
Écouter
Ose n’aie pas peur Allez ose, ho ! C’est des vagues pas des larmes. L’eau c’est de l’eau et c’est ta peau. Elle est douce, douce, douce. Apprends à nager C’est le béaba, Barbote, souviens toi. Fais pas le bébé. Ose n’aie pas peur Allez ose, ho ! Oui le croco c’est bien toi, Dans le liquide qui te presse, De ta gueule à ta queue. Ose, c’est une danse ! Tempère la tempête, Agite aux limites Et fais le noyé. Va, va, Si l’horizon vacille, Tu te sauveras là Où tu te noies, Tu te quittes, Et qui pleure ? Qui s’inonde ? CRO…. Quoi tu ressors déjà du bain? Qui s'y glisse, reste ici, Oublie la terre et puis frétille Toute la nuit, oublie la nuit. Apprends qui tu aimes, Aime, encore aimer, Même au matin même, Même émasculé. Ok je ne sais ou mâchoire… Sur mon banc de sable blanc ? La sainte cuirasse me pèse Et le reste j’oublie le reste… Manger, nécessaire, Prendre l’eau et l’air, Et s’agglutiner et S’amouracher. Va, va, Et si la quille vacille Tu te sauveras là Où tu te noies Tu te quittes Et qui pleure ? Qui s’inonde ? Crocodile C’est ton cuir, C’est ta patte, Ta pupille, Et l’eau brille, Et l’eau fraîche, Crocodile. FALIEZ
Où va mon âme, où vont les balles Dans ces circonstances ? Quand ma tête penche, Rouge fuit, Et le corps croule. Où, où ? Mais où vont ces larmes ? Ces mains qui me palpent ? Je décolle et je brûle, ô ! Et tout est court, tout est rouge, où ? Ma Volonté floue, L’identité file, Sourd à tout, je suis où, où ? Gunshot far away Bullet on the way I’ll be all night You’ll be all right Où va la foule, où va la houle ? Ceux qui me transportent, Qui ouvrent des portes, Les sirènes et la mère croule… Où, où ? Soleil du Maroc, Rayon illicite, Je décolle et je brûle, Ô cette seconde qui s’allonge trop Et qui me transporte, Qui m’ouvre des portes, Calme moi, calme ici, où ? Gunshot far away Bullet on the way I’ll be all night You’ll be all right Où va le bal des désignés ? Où nous sommes en nombre, A valser tout seuls, Seul au monde, où le bal va, où ? Où, où ? Où vont ces carnages ? Hasard camarades, Pour ma pomme, pour des hommes, ô ... L’histoire raconte toujours autre chose, La raison ignore, L’argent est brutal, Sourd à tout ,sourd et où, où ? Gunshot far away Bullet on the way I’ll be all night You’ll be all right FALIEZ
Moi on m’a retrouvé là, Moi le colosse noir, Moi la force du désert. Mon soleil et mon sourire, N’ont rien pu faire, non Et au sol, je suis écroulé. Ici l’air a trop d’arômes, Trop conditionné, Trop riche, sucré, Trop pour mon nez ! Ici tout est à croquer, Choux, chairs, choco, Et des couleurs… Trop pour, trop pour, mes deux yeux ! Désolé Un mirage a déserté De sable ou d’acier ? Je voulais ce pays aux pluies automatiques et Revenir chargé pour vous et les bras ouverts. Mais mon cœur a flanché en pensant à notre clique et À vos yeux ouverts un instant, au Bon, au Bon Marché… Si personne ne sourit, Et si personne ne frôle personne, Dans cette boutique. Pourquoi ces blondes rallongées, Tournent près de moi Et s’écrient : Il est photogénique ! Désolé Un mirage a déserté De sable ou d’acier ? Je voulais ce pays aux pluies automatiques et Revenir chargé pour vous et les bras ouverts. Mais mon cœur a flanché en pensant à notre clique et À vos yeux ouverts un instant, au Bon, au Bon Marché… FALIEZ
CRÉDITS :
Auteur compositeur interprète : FALIEZ
Réalisation musicale: Yann Fery
Site, graphisme, photos, videos, montage et origamis: FALIEZ.
Clip Ose:
Réalisation et Prise de vue : FALIEZ
Maquillage : Laurence Berodot
Effets spéciaux : Cyril Chantereault
Montage : Vanessa Basté


